Pondichéry (Inde) - de notre reporter Alan Mac Weill.
Le congrès mondial sur les maladies virales s'est terminé sur un résumé pour le moins surprenant. Si les chercheurs ont constaté depuis plus de cinquante ans une montée en puissance du nombres d'infections virales, ils sont tous d'accord pour reconnaitre que la voie sexuelle reste la plus énigmatique pour la transmission des virus pathogènes. Les études récentes font ressortir que le virus du SIDA ne devrait pas de transmettre que par la voie sexuelle, mais aussi par tous les autres moyens contenant des cellules : salive, sang, cellules mortes etc... Or, force est de constater que la transmission pathogène ne se situe que dans le cas d'activités sexuelles ou lors de transfusion de sang ou d'utilisation d'aiguilles sales par voie intraveineuse. Le paradoxe devient plus opaque encore lorsqu'on sait que d'autres virus pourraient très bien se transmettre par les voies sexuelles, y compris bien sûr celui qui touche le plus grand nombre d'êtres humains, la grippe, ce qui est loin d'avoir été démontré, puisque le virus de la grippe se propage par voie aérienne, au sein d'aérosols naturels évacués lors d'éternuements, par exemple. Des chercheurs Russes ont également décrit une théorie basée sur des calculs informatiques très complexes concernant des échanges d'ADN et des mutations biologiques et génétiques liées aux transformation des virus, que l'homme pourrait fabriquer lui-même une sorte de sérum contenant les anticorps pouvant le protéger contre des éléments communs à tous les virus, empêchant ainsi par une barrière naturelle l'infestation de son propre corps. Mieux encore, un chercheur Brésilien a indiqué qu'il avait réussi à produire ce sérum chez une variété de souris sauvages de l'Amazonie, mais qu'il n'était transmissible que par voie sexuelle, donc, in fine, ce sérum permettrait de concevoir des dynasties de souris immunisées contre tous les virus, à l'exclusion d'autres espèces. De nombreux participants ont crié à l'imposture lorsque ce jeune chercheur a présenté son "abstract" concernant ses recherches. Mais les enjeux sont énormes. On imagine ce que pourrait devenir l'humanité si une dynastie particulière était immunisée contre les virus, le pouvoir qu'elle aurait sur le reste des femmes et des hommes, et les atouts que cela impliquerait au niveau social. Mais les chercheurs sont tellement septiques sur ce point que l'on peut être rassuré : ce n'est pas encore demain que l'homme sera immunisé contre les virus !
Un laboratoire s'oriente aujourd'hui sur de nouveaux process de fabrication de molécules immunisantes, fabriquées avec des machines aujourd'hui tenues secrètes et installées sur la frontière entre la France et la Suisse, dans une ancienne mine de fer. Ces médicaments ont une durée de vie encore trop courte, mais leur fabrication, à l'état de conception expérimentale, a déjà permis de sauver quelques cas particuliers de dépression immunitaire fulgurante, constatés lorsque le virus du SIDA s'attaque à des porteurs de caryotypes particuliers, souvent issus de croisements de populations génétiques très différentes.
A ce titre, une équipe de chercheurs installée aux Antilles a présenté un exposé révélant que les habituels groupes sanguins A, B, AB et O, n'étaient en fait que la façade de sous groupes beaucoup plus importants. En fait, la vulnérabilité aux virus s'exprimerait en fonction des composantes génétiques issues des croisements entre les être humains, à tel point que ces chercheurs ont montré que les détenteurs de certains caryotypes étaient beaucoup plus résistants à certaines maladies virales. Cet exposé, assez controversé par les grands pôles de recherche, met en cause la notion d'uniformité génétique chez l'être humain. Selon les chercheurs, l'évolution humaine aurait pour composante principale le croisement des chaines d'ADN, sans lesquelles la pérénité des générations ne tiendrait pas dans le temps. Les chercheurs ont indiqué que les déficiences génétiques responsables des maladies dégénératives comme le mongolisme, dont on pensait jusqu'à maintenant qu'elle avaient pour origine une réplication trop homogène des chaines d'ADN, ont en fait pour origine non seulement l'homogénéité de l'ADN, mais en plus la réplication exacte des éléments définissant les caryotypes. Mais ces mêmes chercheurs, qui veulent garder espoir au sujet de la capacité de trouver un vaccin immunisant contre les virus, ou, du moins, certains d'entre eux, ont montré dans leur exposé très technique que la voie était ouverte dans ce sens, mais que les vaccins qui pourraient être envisagés devraient être adaptés à plus de 250 caryotypes différents, et certains types de porteurs ne pourraient pas être signés, car leur profil de défense intégré dans leur ADN ne pourrait en aucun cas fabriquer les défenses nécessaires contre les virus.
Le congrès mondial sur les maladies virales s'est terminé sur un résumé pour le moins surprenant. Si les chercheurs ont constaté depuis plus de cinquante ans une montée en puissance du nombres d'infections virales, ils sont tous d'accord pour reconnaitre que la voie sexuelle reste la plus énigmatique pour la transmission des virus pathogènes. Les études récentes font ressortir que le virus du SIDA ne devrait pas de transmettre que par la voie sexuelle, mais aussi par tous les autres moyens contenant des cellules : salive, sang, cellules mortes etc... Or, force est de constater que la transmission pathogène ne se situe que dans le cas d'activités sexuelles ou lors de transfusion de sang ou d'utilisation d'aiguilles sales par voie intraveineuse. Le paradoxe devient plus opaque encore lorsqu'on sait que d'autres virus pourraient très bien se transmettre par les voies sexuelles, y compris bien sûr celui qui touche le plus grand nombre d'êtres humains, la grippe, ce qui est loin d'avoir été démontré, puisque le virus de la grippe se propage par voie aérienne, au sein d'aérosols naturels évacués lors d'éternuements, par exemple. Des chercheurs Russes ont également décrit une théorie basée sur des calculs informatiques très complexes concernant des échanges d'ADN et des mutations biologiques et génétiques liées aux transformation des virus, que l'homme pourrait fabriquer lui-même une sorte de sérum contenant les anticorps pouvant le protéger contre des éléments communs à tous les virus, empêchant ainsi par une barrière naturelle l'infestation de son propre corps. Mieux encore, un chercheur Brésilien a indiqué qu'il avait réussi à produire ce sérum chez une variété de souris sauvages de l'Amazonie, mais qu'il n'était transmissible que par voie sexuelle, donc, in fine, ce sérum permettrait de concevoir des dynasties de souris immunisées contre tous les virus, à l'exclusion d'autres espèces. De nombreux participants ont crié à l'imposture lorsque ce jeune chercheur a présenté son "abstract" concernant ses recherches. Mais les enjeux sont énormes. On imagine ce que pourrait devenir l'humanité si une dynastie particulière était immunisée contre les virus, le pouvoir qu'elle aurait sur le reste des femmes et des hommes, et les atouts que cela impliquerait au niveau social. Mais les chercheurs sont tellement septiques sur ce point que l'on peut être rassuré : ce n'est pas encore demain que l'homme sera immunisé contre les virus !
Un laboratoire s'oriente aujourd'hui sur de nouveaux process de fabrication de molécules immunisantes, fabriquées avec des machines aujourd'hui tenues secrètes et installées sur la frontière entre la France et la Suisse, dans une ancienne mine de fer. Ces médicaments ont une durée de vie encore trop courte, mais leur fabrication, à l'état de conception expérimentale, a déjà permis de sauver quelques cas particuliers de dépression immunitaire fulgurante, constatés lorsque le virus du SIDA s'attaque à des porteurs de caryotypes particuliers, souvent issus de croisements de populations génétiques très différentes.
A ce titre, une équipe de chercheurs installée aux Antilles a présenté un exposé révélant que les habituels groupes sanguins A, B, AB et O, n'étaient en fait que la façade de sous groupes beaucoup plus importants. En fait, la vulnérabilité aux virus s'exprimerait en fonction des composantes génétiques issues des croisements entre les être humains, à tel point que ces chercheurs ont montré que les détenteurs de certains caryotypes étaient beaucoup plus résistants à certaines maladies virales. Cet exposé, assez controversé par les grands pôles de recherche, met en cause la notion d'uniformité génétique chez l'être humain. Selon les chercheurs, l'évolution humaine aurait pour composante principale le croisement des chaines d'ADN, sans lesquelles la pérénité des générations ne tiendrait pas dans le temps. Les chercheurs ont indiqué que les déficiences génétiques responsables des maladies dégénératives comme le mongolisme, dont on pensait jusqu'à maintenant qu'elle avaient pour origine une réplication trop homogène des chaines d'ADN, ont en fait pour origine non seulement l'homogénéité de l'ADN, mais en plus la réplication exacte des éléments définissant les caryotypes. Mais ces mêmes chercheurs, qui veulent garder espoir au sujet de la capacité de trouver un vaccin immunisant contre les virus, ou, du moins, certains d'entre eux, ont montré dans leur exposé très technique que la voie était ouverte dans ce sens, mais que les vaccins qui pourraient être envisagés devraient être adaptés à plus de 250 caryotypes différents, et certains types de porteurs ne pourraient pas être signés, car leur profil de défense intégré dans leur ADN ne pourrait en aucun cas fabriquer les défenses nécessaires contre les virus.
Le congrès s'est achevé ce soir par une grande réception à l'ancienne ambassade de France, pays qui avait la charge d'organiser cette manifestation mondiale. On a remarqué que le sujet des virus n'interesse pas que les chercheurs et les médecins. De nombreuse délégations militaires étaient inscrites à la participation à ce colloque, ainsi que quelques représentations officielles. C'est ainsi qu'on a reconnu parmi les délégations d'états des responsables de services de renseignements, des ministres de la santé, des responsables de l'environnement.